Hôtel de Guerray
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Hôtel de Guerray

Venez découvrir les joies du XVIII ème siècles.
 
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 Cyrus Enguyen

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Cyrus Enguyen
Personnel, Palefrenier
Cyrus Enguyen


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Localisation : là où me conduisent mes pas...
Loisirs : les longues chevauchées nocturnes
Date d'inscription : 10/02/2008

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MessageSujet: Cyrus Enguyen   Cyrus Enguyen Icon_minitimeMar 12 Fév - 12:08

Nom : Enguyen

Prénoms : Cyrus Angelo

Âge : Tout juste 17 ans

Sexe : Masculin

Origine : Né à Paris d’une mère gitane et d’un père néerlandais

Sexualité : Bisexuel, mais avec une nette préférence pour les hommes

Poste : Palefrenier

Histoire : Au tout début des années 1720, Yoann Hansgeorg Enguyen, originaire de l’actuelle Hollande et marchand de son état fut amené à se rendre en France et plus précisément à Paris pour affaire. Juteuses d’ailleurs les affaires, puisqu’il laissait au pays son épouse dans le dernier trimestre de sa grossesse. De sa dernière grossesse se disait-il alors que sa voiture devant laquelle étaient attelées deux magnifiques juments traversait l’ultime bout de forêt avant sa destination : Paris.

Sa femme bien que jeune était de constitutions très fragile et ses deux dernières maternités n’avaient pas été de tout repos, la frêle demoiselle avait faillit par deux fois y laisser la vie. De plus le fait qu’elle fusse retombée enceinte malgré sa faiblesse fut considéré comme un véritable miracle par les différents médecins et sages-femmes. Ils lui avaient dit que cela restait dangereux pour la mère et l’enfant mais…

Mais que voulaient-ils ? Qu’il se contente de ses deux filles ? Mais à qui donc transmettrait-il sa fortune et son commerce ? Il lui fallait absolument, un homme, un mâle et cela même s’il mettait la vie de sa si dévouée épouse en jeu. Après tout, c’était son devoir de femme de lui donner un héritier et pas encore une de ses créatures juste bonnes à coudre et parfois, mais il en doutait fortement à présent, à donner la vie à un garçon !

C’est dans un état d’esprit plutôt houleux que Yoann, sur les bons conseils de quelques connaissances se rendit dans une maison close. Comme il le disait lui-même : tirer un bon coup lui permettrait d’y voir plus clair ou tout du moins de cesser de voir les femmes, et en premier lieu son épouse, comme des gourdes finies incapables de mettre au monde un marmot mâle !

Lorsqu’il arriva enfin, son humeur loin de s’améliorer sombra plus profondément. Pas même un homme qualifié pour s’occuper de ses précieuses juments ! Il se promit, si l’occasion lui en était donnée bien entendu, d’en toucher deux mots au propriétaire…

Il entra dans la bâtisse et fit de suite sensation. Il est vrai qu’il avait un physique des plus avantageux : des cheveux d’un blonds lumineux qui cascadaient élégamment, des yeux d’un gris glacial et perçant, une haute stature accompagnée d’une carrure d’athlète, un sourire qui lui servait de sésame n’importe où et à n’importe quelle occasion. Yoann était fort beau, Yoann était fort riche, Yoann était fort intelligent, il le savait et en usait… Ce soir là, il s’en donna à cœur joie et à bourse déliée ! Il ne comptait même pas les filles qui passèrent entre ses bras…

Par contre l’une d’entre elles attira fortement son attention enfin…c’est seulement à la fin des ses ébats qu’il la remarqua : dégingandée, provocante et mystérieuse… Elle était là, à moitié nue, alanguie sur l’un des nombreux fauteuils, la tête renversée et le regardait d’un œil amusé un rien aguicheur. Ce regard…si chaud, si vivant, des yeux de braises où brûlaient doucement des paillettes dorées dans un océan brun clair.

Elle lui avait dit qu’elle se nommait Salomé, qu’il lui plaisait bien et qu’elle allait donc en plus de s’offrir à lui, lui faire une prédiction. Elle se prétendait : voyante. Amusé l’étranger la suivit et alors qu’il la prenait tantôt violemment tantôt lascivement elle trouvait encore la force et le souffle de lui dire la bonne aventure et cela entre deux grandes inspirations de ce qu’elle appelait "opium", un petit quelque chose que ces ancêtres gitans avaient découvert à l’extrémité est de l’Europe aux contacts de quelques asiatiques…
Elle lui assura qu’il aurait au moins un fils mais qu’il y aurait une surprise à cela… Parcourut par un rire hystérique elle ne voulut rien lui dévoilé de plus avant de sombrer dans l’inconscience.

Au petit matin, Yoann s’en fut heureux et repus mais aussi dubitatif. Il ne repensa plus à la magnifique femme à la peau pain d’épice et au cheveux de jais avant un moment, surtout qu’une missive lui apprit que sa femme était vivante, alitée mais bien vivante et qu’elle avait donné le jour à un enfant. Pourtant on s’était bien gardé de lui dire s’il s’agissait d’un garçon… Peut-être que sa femme voulait lui faire la surprise et lui annoncer de vive voix, en tout cas cela expliquerait les paroles singulières de cette non moins singulière fille de joie !

Mais comme ses affaires le retenaient encore dans les environs pour un peu moins d’un an il ne put de suite retourner chez lui.
Il visita pendant son séjour de nombreux lieux de débauche et oublia quelque peu son premier contact avec la faune parisienne… Néanmoins il repassa plusieurs mois après dans le même établissement et n’eut pas le plaisir d’y trouver sa gitane. Elle s’est enfuie. Lui confia le tenancier, elle fait cela à chaque fois qu’un client l’engrosse ! Mais elle finit toujours par revenir !

Yoann fut pris d’un doute, et s’il avait mal interprété les mots de la jeune fille ? Après de maintes recherches longtemps restés vaines il l’a trouva enfin, chez un maréchal-ferrant et en se disant que tout de même il était bien sot de croire que les divagations d’une fille de joie aient une quelconque possibilité de véracité.

Cependant quand il l’a revit il se trouva au pied du mur : elle était enceinte et de cinq mois déjà. Elle lui assurait qu’il était le père, puisqu’elle avait compté les jours et que comme la lune était à ses côtés ce serait un fils… Il n’y comprenait rien, cette gamine était folle !

Mais le futur le contredit : un peu plus de trois mois après, par une belle nuit de pleine lune la gitane mit au monde un fils. Il était aussi brun de peau que sa mère mais possédait des cheveux blonds et légèrement bouclés. Ce n’était que du duvet mais Yoann savait : il était bien face à son fils. Illégitime d’ailleurs le mâle tant attendu…
Qu’à cela ne tienne, il en ferait son héritier si par malheur sa femme avait donné naissance à une troisième fille ! Ils l’appelèrent Cyrus en rapport à sa chevelure dorée et ondulée, du latin cirrus "boucles de cheveux" et puis par référence aux nuages qui parsemaient de leur volute légère cette nuit si particulière. Il était clair que la citation latine provenait de Yoann et que le lien à la voûte céleste, de la voyante. Mais étrangement ils s’étaient entendus… Le prénom italien Angelo fut aussi proposé.

L’étranger fit promettre à Salomé de laisser son fils chez ce maréchal-ferrant qu’il avait appris à apprécier : les deux hommes partageaient l’amour des chevaux et le néerlandais ne pouvait imaginer de meilleur endroit pour élever (discrètement) son fils. L’homme était bon et intelligent. Il lui attacha les services d’une nourrice comme la gitane reprenait à temps plein son…emploi et promis de repasser dans quelque temps pour s’assurer de la santé de l’enfant et lui donner un précepteur. Après tout s’il devait lui succéder un jour autant qu’il ne soit pas simplet ni arriéré !

Les années passèrent et Cyrus était âgé de trois ans lorsque Yoann revint soulagé : il avait deux filles et deux fils, dont le cadet avait été conçu illégitimement et avec une prostitué de surcroît ! Il continua quand même à subvenir au besoin de Cyrus mais de façon moins poussée, il donnait moins et le précepteur de talent avait été remplacé par un autre moins qualifié, mais à quoi bon se disait-il ? Il ne sera jamais mon héritier… Yoann se désintéressa tant et si bien de l’enfant qu’il ne réagit même pas quand il découvrit son fils, mais le considérait-il encore comme tel…, couvert de tatouages, il ne pipa mot lorsqu’il s’aperçut qu’il avait également les oreilles percées. Qu’on en fasse un parfait petit bohémien ne le gênait pas. Tant qu’on n’apprendrait pas de part chez lui qu’il avait pour rejeton un petit gitan blond…

C’est dans ces conditions atypiques que grandit Cyrus, une mère toujours absente mais qui tenait à rattraper le temps perdu avec fougue, un père inconnu ainsi qu'une famille d’accueil on ne pouvait plus chaleureuse. Le maréchal-ferrant prénommé Jean, était bon et généreux, il le traitait comme son fils. Ses deux grands fils, Roland et Corentin l’avaient plutôt bien accepté aussi et il était fortement apprécié par la benjamine de la famille, Margot.

Il apprit le dur et éprouvant métier de la ferronnerie, continua ses leçons avec le précepteur et se lia fortement aux chevaux. Savoir que ses deux figures patriarcales les appréciaient grandement rendait cet état de fait évident. Mais cela allait sûrement plus loin que cela…

Pour preuve l'histoire de Luna...

Un jour on amena au maréchal-ferrant une petite pouliche, elle avait une jolie robe gris pommelé et une crinière blanche parsemée de crin gris. C’était une jeune percheronne, un futur cheval de trait. La jeune pouliche était nerveuse, extrêmement nerveuse même et depuis qu’elle s’était blessée lors de son dressage on ne pouvait l’approcher que de loin, elle ne mangeait pratiquement plus également et agressait sans cesse la profonde plaie qu’elle avait à la patte.

Jean mit tout son savoir et sa bonne volonté pour soigner la pauvre bête en déroute mais hélas il ne put même pas panser sa plaie, même en usant de toute sa patience il n’arrivait à rien. Il s’apprêtait à prévenir les propriétaires que leur pouliche était perdue lorsque le petit Cyrus d’à peine cinq ans entra dans l’écurie et s’installa dans la stalle de la jument. Curieusement, il rassembla de la paille sèche et s’allongea dessus, juste sous la bête.

Jean voulu récupérer le petit inconscient mais songea juste à temps que s’il faisait le moindre geste vers la pouliche, celle-ci pour l'instant étrangement calme s’exciterait à nouveau et piétinerait aisément le jeune garçon. Alors il laissa faire.

Trois longs jours passèrent où le garçon et la pouliche ne bougèrent pas d’un pouce, c’est à peine s’ils buvaient quelques fois. Cyrus restait simplement sous la jument et chantonnait doucement, il semblait vouloir rassurer la bête par sa présence immobile et la régularité de sa voix.

Ce qui fonctionna, avant longtemps la pouliche se laissa soigner par le petit et ne mangeait que dans sa main. Cependant la petite jument boitait un peu et ses propriétaires projetèrent de la vendre à la boucherie chevaline… Emu jusqu’au larmes du profond désespoir du jeune Cyrus à cette nouvelle il racheta la jument qui resta donc aux côtés de Cyrus, ou plutôt Cyrus resta aux côtés de la pouliche : il dormait volontiers dans les écuries plutôt que dans la maison pourtant confortable et assez spacieuse. Non, il voulait être avec Luna.

Luna... C’était ainsi qu’il avait baptisé sa jument, d’ailleurs avait-il confié à son tuteur, il n’avait fait que lui répéter ce nom durant le temps où il essayait de la calmer.

Cyrus grandit dans ce cadre, entouré de sa jument et des attentions des ses hôtes, travaillant avec joie et énergie, possédant une forte curiosité et une intelligence vive. Jean regrettait grandement que ce petit ne soit pas noble ou tout du moins un véritable bourgeois. Il était clair que dans ce cas il ne ferait que réussites sur réussites ! Preuve en était toutes les améliorations techniques dont il fut à l’origine à la ferronnerie.

Âgé de tout juste 17 ans Cyrus fort de son expérience en métallurgie et en matière de chevaux décida de quitter son tuteur, il ne voulait plus être un poids pour eux, même si ces derniers ne le considéraient pas comme tel. Mais Cyrus voulait voler de ses propres ailes, se débrouiller seul.

Plus rien ne le rattachait à Jean ni à autre chose ou quelqu'un d'autre, seule comptait Luna. Sa mère était morte emporté par la maladie et il n'avait jamais rien su sur son père...

Après tout il n’était plus un bambin et avait pratiquement tout d’un homme ! Mise à part sa petite taille bien entendu, mais cela ne l’avait nullement désavantagé, il savait se fondre dans la masse et s’il désirait se faire remarquer d’une jeune fille ou d'un jeune homme quelconque il y parvenait avec une facilité déconcertante.

C’est de cette façon qu’il arriva en l’an 1740 à l’hôtel de Guerray, un de ses amis lui avait confié que le nouveau maître des lieux, un certain Julien de Guerray cherchait presque désespérément un palefrenier qualifié pour tenir les écuries de la demeure. Attrapant au vol cette opportunité Cyrus se fit engager et obtint même le droit de faire profiter Luna des somptueux baraquements attribués aux chevaux des clients plus ou moins fortunés et souvent membres notoires de la noblesse européenne.


Dernière édition par le Mar 12 Fév - 18:10, édité 2 fois
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Cyrus Enguyen
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MessageSujet: Re: Cyrus Enguyen   Cyrus Enguyen Icon_minitimeMar 12 Fév - 13:05

Description physique : Cyrus est un métis : il a hérité de la peau halée de sa mère mais des yeux et cheveux clairs de son père. Son teint est doucement basané et renforce la blondeur quasi angélique de sa chevelure en désordre, ainsi que le froid pratiquement polaire de ses iris d’un gris délavé.

Son expression est le plus souvent farouche, mais le doute y a aussi sa place parant d’une adorable moue le visage haut en couleur du garçon. En effet Cyrus rougit facilement, après une course ou une chevauchée, lorsqu’il est gêné ou bien au contraire excité. Ses joues caramel prennent alors de tendres colorations pivoines ou carmines. Il en va de même pour ses lèvres pleines et joliment ourlées qui aiment se colorer d’un rouge tendre mais diablement provocant.

Ce métis possède des traits fins mais volontaires, malgré les gentilles rondeurs sensuelles de son visage il a un charme indéniablement viril avec ses sourcils marqués bien que blonds et un menton quelque peu carré.

Il n’est pas bien grand avec son mètre soixante-sept mais est doté d’un corps puissant et musclé. Ce qui ne l’empêche pas d’être passablement svelte et élancé. Ses membres sont fins et vifs. On les devine, sans peine, nerveux, souples et endurants…

Et oui le jeune garçon jouit d’une vigueur exceptionnelle : il a l’habitude des efforts et pallie à sa petite taille qui ne lui confère pas une force extraordinaire avec sa vitesse, son agilité et son incroyable souplesse digne des artistes ambulants les plus aguerris et talentueux. Il est de plus un cavalier hors paire.

Toute personne normalement constituée serait intéressée par cet être : véritable incarnation vivante du mélange des genres ainsi qu’appel flagrant à la débauche la plus pure. La couleur ambrée, voire admirablement caramélisée de cette peau qui ne saurait être que douce et savoureuse…. Qui délivre à chaque souffle d’air, heureux de caresser un tel délice, une entêtante flagrance sucrée… Ce corps énergique mais dans le même temps élégant, tellement désirable… Ce regard de glace mais qui sait si bien fondre et laisser place au plus indécent des incendies… Il est tout simplement savoureux et cela d’un bout à l’autre de son corps atypique.

Cyrus possède une beauté naturelle, sans artifices, sauvage même. La pagaille règne en maîtresse absolue au sein de la crinière toutefois assez courte et d’un blond outrancier qui lui sert de chevelure. Son regard peut-être à la fois la plus grande preuve de sa naïveté ou de son innocente illusoire comme la plus pressante des invites… En tout cas les deux orbes d’un gris pale sont toujours expressives : candeur, rage ou fierté ainsi que fragilité, impatience et crainte s’y succèdent allègrement au grès du temps, du vent ou des envies…

Mais ces notions sont-elles vraiment si différentes pour ce jeune homme ?

Son amour confinant à l’adoration ou au culte pour les chevaux est visible jusqu’à ses tenues vestimentaires. Vêtu des pieds à la tête de cuir grossièrement tanné mais paradoxalement surpiqué de fil coloré, il peut prendre un air encore plus sauvage, on pourrait même dire bestial. D’ailleurs son regard de fauve et sa grâce féline ne peuvent que confirmer la chose !
Il complète sa parure de cuir avec une étoffe d’un beige tendre contrastant avec les marrons et ocres de ses vêtements et sa peaux. Cependant le linge épais est agrémenté de nombreuses lanières de cuir, inutiles mais du plus bel effet.

Il est mystérieux et la douzaine de tatouages qui parsème de leurs somptueux dessins calligraphiés avec le plus grand soin ne fait qu’accentuer cet état de fait. Il en va de même pour les nombreux bijoux incontestablement d’origine gitane qu’il porte en permanence : bracelets aux poignets et de cheville, chaîne et créoles sont de rigueur. il est tout de même à demi bohémien !

Description psychologique : Cyrus est un sujet complexe malgré les apparences. Il sait être ouvert et accueillant voire chaleureux mais préfère la solitude ou tout du moins la présence moins oppressante des chevaux, ses amis de toujours. C’est grâce à ces êtres qu’il considère comme parfaits qu’il s’est ouvert au monde.

Il peut être totalement naïf ou bien plus manipulateur, tout dépend de son niveau de connaissances. A n’en pas douter s’il avait reçu ne serait-ce que le dixième de l’éducation des nobles il aurait déjà tout Paris à ses pieds !

Mais hélas, Cyrus ne sait qu’à peine lire et écrire… Il a développé toutefois une grande aisance avec les chiffres et a un grand intérêt pour les mathématiques dont il pressent une avancé majeure possibles dans les milieux de la technique. S’il seulement quelques savants et érudits y planchaient sérieusement se lamente-t-il quelquefois…

Cyrus se cherche, qui est-il, de quoi a-t-il envie ou plutôt de quoi a-t-il besoin ? Inconsciemment il tente de répondre à ses questions existentielles même s’il semble en façade se contenter de son sort et de sa vie simple, tranquille… Après tout il n’a pas pris de trop grands risques dans sa vie, il est resté proche de sa famille d’accueil et même s’il a atterri dans cet endroit hautement sournois qu’est l’hôtel de Guerray, sa fonction de garçon d’écurie ne le met pas au premier plan, il ne fait que servir et quelque fois soulager les quelques clients avinés qui ne peuvent attendre d’entrer dans l’enceinte de la majestueuse bâtisse !

Dans des moments de profonde réflexion Cyrus peut ressembler à un enfant perdu demandant presque désespérément un peu d’attention. Mais si quelqu’un le surprenait dans cet état et déciderait d’aller vers lui, le métis le repousserait de toutes ses forces comme un animal blessé s’interdisant de croire à la bonne foi de son sauveur, ou bien comme un enfant capricieux agissant seulement par esprit de contradiction.

En clair c’est un jeune garçon inconstant et indécis preuve en est son orientation sexuelle. Il a connu par son travail, dans les profondes campagnes environnantes de Paris quelques filles de fermes aux charmes des plus affriolants mais au hasard de ses rencontres, qu’elles soient professionnelles ou du fait sa famille d’adoption, il a connu des hommes qui ont pu lui prouver que les ébats et jeux entre hommes étaient on ne peut plus agréables.
Encore une fois Cyrus s’est révélé un élève studieux et pour le moins inventif ! Il apprécie particulièrement être pris, cette sensation de plénitude de chute en soi-même lorsque qu’on est possédé, cette énergie qu’on lui transmet quand on le besogne rudement voire violemment, agit comme la plus puissante des drogues, encore plus que celle dont sa catin de mère était friande…

Le jeune Enguyen est encore un petit tigron mais un grand fauve en devenir… Mais encore faut-il qu’il s’en rende compte…

Autre : Il possède les douze symboles du zodiaque tatoués sur l’ensemble de son corps, une volonté de sa défunte mère…

[note : c’est peut-être trop long… mais au moins y’a plein de détails !]
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Myoki Ducollet
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Myoki Ducollet


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MessageSujet: Re: Cyrus Enguyen   Cyrus Enguyen Icon_minitimeMar 12 Fév - 20:58

Aloooorssssssssssssssssssssssssssssss.....

*roulement de tambours*

C'est....

Parfait^^ Une très bonne fiche, pleines de détails... Bref, parfaite!!

Fiche Validée, bien sur!
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MessageSujet: Re: Cyrus Enguyen   Cyrus Enguyen Icon_minitime

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