S'amuser [Réservé]

Julien était quelque peu ennervé par de la Castille, depuis le temps qu'il lui courrait après... il semblait ne pas vouloir abandonner. C'était tout de même quelque peu gênant de sa part et Julien avait un mal fou à devoir l'éviter ou à trouver une bonne excuse pour ne pas être à l'hôtel en même temps que de la Castille. D'ailleurs... cela devait signifier que ce cher Laurent avait à peu près compris la manoeuvre puisque Julien n'avait pas été mis au courant de cette arrivée... ou était-ce une coïncidence ?

Quoiqu'il en soit, Julien s'installa dans son canapé et souffla un peu pour se calmer jusqu'à ce que le gamin ne se mette à lui parler. Que voulait-il celui-là encore ? Un massage ? Pour le détendre ? le seigneur de guerray ne sourit pas mais se leva et se rendit dans sa chambre puis s'allongea avec plaisir sur son lit sur le ventre après avoir enlever sa chemise.

"Ca à interêt à être correct."

Même grand interêt d'ailleur... Julien n'était pas pour les initiatives personnelles de ses compagnons et celle-ci avait interêt à avoir de la valeur. C'était même chaudement recommender pour la santé du jeune homme.

(dslé post nul...)

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki ne voulait pas s'attirer les foudres de Julien mais peut-être qu'un massage lui ferait du bien. Il semblait très énervé après avoir lu le mot d'un de ses clients sans doute. Il se doutait que ce n'était pas le genre d'homme à accepter les initiatives d'inférieurs mais là, apparemment, il ne broncha pas. Il se leva et Myoki le suivit jusqu'à la chambre.

Julien enleva sa chemise et s'allongea sur le ventre en marmonnant quelques mots. Myoki soupira silencieusement et monta à genoux sur le lit. Il hésita à se mettre à califourchon sur Julien mais étant donné que c'était plus partique, il se posa sur les fesses de l'homme. Il n'était pas bien lourd, ça devrait aller.

"Ne vous crispez pas s'il vous plait...."

Murmura Myoki qui posa ses mains chaudes sur les épaules de Julien. Il commença à le masser doucement, défaisant les noeuds de son dos doucement. Il espérait que son massage irait. Il était assez doué, on el lui avait déjà dit et jouait la deçut. Il descendit le long de sa colone vertébrale, joua sur les reins, remonta sur les épaules pendant un long moment... Il ne savait pas si Julien s'était rendormit et n'osait pas bouger... Il continua son massage, l'homme lui dirait quand il en aurait marre non?!

"Ca vous fait du bien monseigneur?"

Le gamin lui avait proposé un massage... Julien avait donc accepté, il n'aimait pas trop les initiatives de ce genre mais avait bien besoin de se détendre et alla donc s'allonger sur son lit en attendant que le gamin face son oeuvre.

Puis il le senti grimper sur son lit et sur son dos. Le jeune seigneur de Guerray ne dit rien et le laissa faire, il n'était pas lourd et ça allait pour le moment donc... rien à dire. Puis les mains se mirent en action dans son dos, il ne fit pas cas des paroles quelques peu insolentes du jeune être et le laissa faire.

Ses mains dénouaient avec habilité son dos quelque peu noué et le détendait, des frissons et des décharges de plaisir le détendirent encore plus et Julien ferma les yeux tout en souriant légèrement... il étiat bien là... finalement ce n'était pas une si mauvaise initiative... peut-être devrait-il récompenser le gami après tout... il verrait plus tard.

Par contre, alors qu'il commençait à doucement sombrer, bien partant pour une nouvelle sieste, il entendit la voix de Myoki. Décidemment, il ne faisait les choses qu'à moitié celui-là... De Guerray grogna légrèrement et fit un signe de la main avant de se relever doucement pour se tourner.

"Tu parle trop."

Il s'allongea sur le dos et attendis la suite, regardant le jeune homme comme s'il regardait un objet. Puis ses pensées dérivèrent, il avait des choses à faire mais en même temps n'avait pas envie de faire grand chose aujourd'hui... il aimait déléguer les tâches et Bela et Valentin étaient là pour ça non ? Il irait les voir plus tard pour leur donner quelques instructions.

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki était un petit moulin à paroles. Il aimait bien parler. Mais là, il venait sans doute d'incommoder Julien...enfin, le massage se passa bien jusqu'à ce qu'il demande si ça lui faisait du bien. Julien soupira et déclara qu'il parlait trop avant de se retourner sur le dos. Myoki qui ne s'y attendait pas et se retrouva donc à califourchon sur Julien...

Par contre là, il ne savait pas du tout ce que Julien attendait de lui. Alors il resta là, à lui sourire doucement, baissant quand même la tête en signe de soumission. Il joua avec ses doigts avant de remarquer où il se trouvait. Il rougit un peu et se mit à genoux à coté de Julien...

"Que voulez-vous que je fasse?"

Murmura-t-il doucement en rougissant toujours mais souriant. Julien voulait peut-être dormir, ou un autre massage ou autre chose... Ou peut-être qu'il voulait juste qu'il se taire... Il baissa plus la tête et se mordit la lèvre doucement... Voilà, il allait passer pour une pipelette. Pire qu'une fille qui ne faisait que jacasser. mais il était comme ça, toujours à parler, ça énervé beaucoup d emonde!

"Désolé de parler beaucoup..."

Julien de Guerray voulait simplement se détendre et le gamin avait à peu près bien commencé dans ce sens. Le propriétaire de l'hôtel se sentait mieux et avait décidé de continuer sur le torse après avoir simplement remarqué à son compagnon qu'il parlait trop et surtout pour ne rien dire selon son maître.

Hélas Myoki ne sembla pas tout comprendre et sourit bêtement en jouant avec ses doigts avant de se décaler et de demander à Julien ce qu'il souhaitais, puis de s'excuser de parler autant. Le seigneur de Guerray fronça les sourcils, il était tombé sur un idiot, il était obéissant mais pas très futé, loin de là.

De Guerray se releva et regarda le gosse le visage fermé avant d'envoyer une gifle magistrale sur sa joue puis de se lever et de mettre une chemise propre, quel idiot, même pas capable de faire un simple massage correctement, pas capable de comprendre unesimple situation, ce n'était pourtant pas si compliqué que ça, si ?.

Il se retourna ensuite et regarda Myoki sur le lit avant de secouer la tête en soupirant et de se diriger vers son bureau et de mettre son manteau, son chapeau et ses gants. Il prit aussi sa canne et alla vers la porte avant de se parler assez fort pour que le gosse l'entende.

"Je sors. Pas de bêtises."

Puis il sortit et claqua la porte avant de se rendre à l'extèrieur. Ce gamin l'avait détendu et ne se voyait pas de s'ennerver pour un gueux de son éspèce. Il avait donc pris la décision de prendre un bon bol d'air pour terminer de se calmer. Il verrait ce qu'il ferait de lui à son retour. Entre punition et ignorance il hésitait, il était un peu fatigué et ne se voyait pas non plus perdre son temps à le punir. Pourtant il en aurait bien besoin pour apprendre quelques petites choses…

(dslé... pas onspirée des masses moi ^^")

[--> Quelque part pour faire chier quelqu'un ^^]

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki avait été conditionné, un vrai petit obéissant qui avait du mal à agir sans ordres. Il n'était pas idiot, loin de là, mais il avait juste besoin qu'on lui dise quoi faire. Ca pouvait très mal passé comme sans doute en cet instant. Il avait proposé un massage à Julien et s'était éxécuté. Il lui avait massé le dos mais le jeune homme s'était retourné et Myoki était descendut de sa taille pour ne pas l'embêter et s'excusa...

Myoki ne s'attendait pas à ce qui allait suivre... une baffe magistrale lui éclata la joue. Sa tête partie sur le coté et il n'osa plus bouger. Il resta ainsi jusqu'à ce que Julien sorte en criant d'être sage... Le jeune compagnon soupira et se toucha un peu la joue. elle lui faisait un peu mal maintenant...

Finalement, il quitta la chambre et repassa au salon. Il alla se mettre sur le canapé et s'allongea. Il ferma enfin les yeux et s'endormit. Que Julien hurle, tant pis, il l'aurait mérité. Il n'avait pas obéit et avait été punit... Il le serait sans doute encore mais pour le moment, il se reposait juste...

Invité

Charles pouvait se dire propre: pas un grain de poussière ou un ombre de crasse ne restait sur son corps. On l'avait frotté, astiqué, savonné, arrosé et séché tellement fort qu'il ne senait même plus sa peau. Cette dernière était d'ailleurs rougie à force d'être sollicitée, à sa plus grand ehorreur. Lui qui avait toujours adoré sa peau de porcelaine, le voilà qui ressemblait à un homard trop cuit.
Ceci dit, il était magnifique. Ses habits était d'une richesse non niable et il portait une admiration sans borne à sa longue veste bordeau aux manches évasés. Il pouvait le dire: il était beau. Et vaniteux, oui.

Malgré sa nouvelle assurance dû à son apparence, Charles ne se sentait pas prêt à rencontrer son client. C'était trop tôt. Et puis, il ne s'était inscrit nulle part, n'avait rencontré personne si ce n'était la bonne. C'est donc tout naturellement qu'il refusa obstinément de suivre la servante lorsqu'elle voulu le conduire au salon. Il prétexta devoir absolumment rencontré le maître des lieux. La femme fit une grimace mais ne posa pas plus de question, le conduisant directement devant la porte de ce qui semblait être les appartements de M. De Guerray.

Posant délicatement sa main fine sur la poignée, le châtain eût une hésitation. Il tira machinalement sur sa veste, lissant les bords et replaça une méches rebelle derrière son oreille. Voilà il était prêt à rentrer dans l'antre du Lion. Il enclencha la poignée et d'un getse leste pénétra dans la salle. Celle-ci était très belle. Un grand salon, avec des canapés luxueux et...Minute, sur l'un deux reposait un homme.

*Endormi, de toute évidence.*

Pris d'un culot qu'il ne se connaissait pas, Charles s'avança vers le garçon. Il observa son visage longtemps, restant assez loin pour ne pas le déranger. Il voyait sa bouche entrouverte laisser s'échapper une réspiration lente et paisible. Sa poitrine bougeait en rythme, si imperciptiblement que l'on aurait pût penser qu'il ne respirait pas.

Etait-ce vraiment lui le propriétaire? Un si jeune homme, si serein...Pouvait-on dormir du sommeil du juste alors qu'on vendai tle corps de jeunes gens à des aristocrates bourrés de fantasmes les plus pervers les uns que les autres?
Cette pensée le dégoûta et il sût à cet instant qu'il ne pourrait jamais apprécier cette vie. Si cela portait encore le nom de "vie".

Charles secoua la tête. Il avait beau ressentir une haine inégalable pour cette...activitédes plus humiliante, il n'arrivait pas à détesté ce jeune homme endormi...Il se posait inlassablement cette question: etait-ce vraiment lui?

Se disant qu'il n'arriverai tpas à attendre plus longtemps, il approcha sa main de l'épaule de l'assoupi et la secoua doucement. Il savait très bien qu'en faisant il mettait sa vie en danger, mais objectivement il s'en foutait.
Bientôt, l'homme paru s'éveiller...

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki avait fait plaisir à Laurent, il l'avait massé avant que l'homme ne parte. Laurent était partit en le laissant là... Il en conclue qu'il n'avait pas le droit de partir et alla simplement se coucher dans le canaper pour finir par s'endormir. Il était fatigué, il était très fatigué par le voyage et appréciait le calme de la pièce... Son souffle se fit lent et pratiquement imperceptible. A ce demander s'il respirait vraiment...

Le jeune compagnon dormait si bien qu'il n'entendit pas la porte s'ouvrir, ni une personne entrer et encore moins l'observer. Il était plongé dans un monde où les plus pauvre était rois et les rois était pauvres... Il était perdu dans les chimères des rêves et des espoirs jusqu'à ce qu'une main le secoue doucement.

Le rêve se brisa et Myoki ouvrit des yeux déjà vif. Il pensait que ce serait Laurent et s'apprêta à s'excuser avant de remarquer et bien que ça n'était pas Laurent mais un beau jeune homme, habillé pratiquement noblement... Sans doute un client... Enfin, peut-être, Myoki ne savait pas. Il hésitait... Mais pour ne pas paraître idiot et impolie, il s'assit sur le canapé et baissa la tête en signe de salutation.

"Excusez moi monseigneur.... Je m'étai endormis...Monseigneur De Guerray m'ayant laissé seul, je me suis pemit de me reposer, j'espére ne pas avoir enfreind une règle!"

La petite voix douce de Myoki s'éleva dans la pièce alors que son proprièétaire remettait ses vêtements en places. Si c'était un client, il devrait sans doute l'honorer... Esérant que Julien ne lui en voudrait pas...

Invité

Charles espérait qu'il n'allait pas rendre furieux l'homme alors que celui-ci dormait tranquillement. pourtant au lieu de voir un expression de colère dans les yeux de celui qui venait de s'éveiller, Charles crût y voir une lueur de surprise. Il poussa un petit soupir. Ouf! Il avait échapé au pire.

L'homme s'assit et baissa la tête en signe de salutation. Charles trouva cela étrange. Quelqu'un de cette importance qui se contentait d'un mouvement de tête? Vraiment étrange...pourtant il y répondit lui-même, soudain mal à l'aise.

Le brun sursauta à l'appellation de Monseigneur. Cet homme croyait-il donc qu'il était un client? oh..;c'était sûrement à cause des vêtements...Une rougeur s'installa sur ses joues pâles - il n'avait pas l'habitude de ce genre d'appellation- tandis qu'il remettait en place les pans de sa veste maladroitement.

Une minute. Avait-il dit "Monsieur de Guerray" ? Alors....Ce jeune ne serait pas M. De Guerray? Oh Dieu quel quiproquo stupide!
Charles sourit lorsque le garçon s'excalama qu'il espérait ne pas avaoir enfreint le réglement...Il devait être un compagnon lui aussi....

Pour la première fois depuis longtemps -une éternité lui semblait-il- sa voix s'éleva, légèremenr rauque de son manque d'utilisation:

"Ne t'inquiètes pas. Je ne suis pas un client. En fait je voulais voir M. De Guerray...Et j'ai crû que c'était toi."

Le tutoiement était venu tout seul, comme une habitude. Lui qui d'habitude était si poli! Mais il avait cette impression qu'il ne devait pas s'encombrer de bonne manière ici et pas avec ce jeune homme.

Il poursuivit doucement:

"Je suis Charles. Et toi?"

Il lui demanderait plus tard où était le propriétaire, pour l emoment il voulait juste s'excuser de l'avoir effrayer. Il s'assit également sur le canapé.

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki avait été surpris dans son sommeil, mais ça ne le dérangeait pas, il avait cru que ça serait Julien qui le réveillerait mais non, ce fut un jeune homme noblement habillé... Faisant preuve de bonne manière, Myoki s'excusa d'avoir dormit en inclinant la tête, expliquant que le prorpiètaire des lieux était sortit, le laissant seul. L'homme ne face de lui devait sans doute être un client... Il se préparait donc à lui donner les hommages qu'il désirerait...

Mais bien vite il s'avéra que tout n'était qu'un quiproqua et que le jeune homme n'était pas un client. Il le tutoya et lui donna son prénom, s'assayant à coté de lui. Charles, c'tait jolie et ça s'accrodait bien avec la personne... Myoki lui sourit et s'assit un peu mieux, se passant une main dans les cheveux pour les discipliner.

"Je m'appelle Myoki.... Je suis un nouveau compagnon... Et vous?"

Lui avait gardé le vouvoiement. C'était une habitude, chez lui, on se vouvoyait, et avec les clients qu'il avait eu, hors de question de montrer une telle familiarité. Pas qu'il ait du mal avec ce "tu" mais c'était juste qu'il n'avait pas lhabitude.

"Je vous ai pris pour un noble avec vos vêtements, je m'excuse si je vous ai offenser!"

Dit-il aussi, souriant toujours. Il espérait que ce jeune homme pourrait devenir peut-être un ami... Après tout, dans ce monde où ils étaient vulnérables, il fallait s'entraider pour survivre...

Invité

Alors qu'il s'était assis, le garçon répondit à la question de Charles. il remarqua que son interlocuteur avait gardé le vouvoiment mais ne s'en formalisa pas. Après tout ils ne se connaissaient que depuis quelques minutes.
Cependant le prénom qu'il lui donna le surprit, bien qu'il ne le montra pas, comme à son habitude. Il se contenta juste de reprendre:

"Myo-ki?" dit-il en articulant soigneusement les syllabes- il ne voulait pas paraître médiocre. "C'est un nom bien étrange. Joli mais pas d'ici, n'est-ce pas?"

La remarque qui suivit fit légèrement sourire Charles. Il avait oublié qu'il portait cet accoutrement, mais il ne pensait pas qu'on puisse le confondre avec un noble. Enfin ceci dit, il appréciait qu'on lui fasse un tel compliment. (Comme si son ego n'atait pas assez surdimensionné)

"Tu ne m'as pas du tout offensé. Etre confondu avec un noble n'est pas ce qu'on appelle une offense."

Son sourire s'affaiblit alors qu'il venait tout juste de se rappeler que l'autre était aussi un nouveau compagnon. Il soupira et lança, indifférent:

"Je suis aussi un nouveau compagnon il semblerait.Mais je pensais qu'il fallait voir le propriétaire avant ...de commencer le travail."

Il s'éclaircit la gorge et demanda:

"Comment est-il?"

Oui la question pouvait être prise de différentes manières mais Charles n'avait pas envie de préciser sa pensée. Et puis de toute façon, n'importe quel détail ferait l'affaire, il adorait connaître de schoses inutiles sur les gens.

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki était content de rencontrer enfin quelqu'un d'autre que Julien... Il écouta le prénom du jeune homme et donna le sien... Il s'attendait à la réaction de Charles... En faite, c'était juste une folie de sa génitrice qui adorait les fleurs et l'avait nommé comme l'une d'elle, juste avant sa mort et son père n'avait jamais eu le courage de lui changer et puis Myoki amait cela...

"C'est un nom de fleur... Ma maman aimait les fleurs!"

Il sourit de toutes ses dents avant de paraitre soulagé. Et bien au moins il ne s'en ferait pas un ennemis.. Par contre il se demanda pourquoi il s'assombris un peu et lui demanda de lui parler de Julien.... Le jeune compagnon lui sourit et se cala mieux dans le canapé, remontant un peu la chemise qui dévoilait son épaule nue...

"Il est stricte ais juste... Il est très beau et me parais gentil.... Mais je crois que pour travailler il faut voir l'un des intendants!"

Myoki pouvait paraître enchanté, mais finalement, il n'avait pratiquement jamais connus que ça, la prostitution et la terreur des coups... Ca ne lui faisait plus si peur que ça. Mais il ne voulait tout de même pas faire peur au nouveau et décida de poser une question moins...moins quoi^^

"Vous faisiez quoi avant?"

Invité

Alors que Myoki lui répondait d'où venait son prénom, Charles ne pû s'empêcher de sourire. Vu la manière dont il parlait de sa mère, lui aussi devait beaucoup l'aimer n'est-ce pas?
En mentionnant sa mère, Charles ne pouvait pas s'empêcher de penser à la sienne. Elle lui manquait tellement... Il poussa un petit soupire triste avant de se replonger dans la conversation.

La description du Propriétaire le surprit énormément. Pour tout dire il s'attendait à ce que ce soit un homme chauve, bedonnant et malodorant. Une sorte de vieux bonhomme graveleux et malpropre. Il haussa des épaules et n'émit qu'un "Ah" indifférent. En fait, c'était simplement pour cacher son étonement et ne pas avoir à penser qu'il avait eût tord.

La suite de la phrase choqua CHarles et cette fois il ne pût cacher ce sentiment. Ce n'était pas le fait d'aller voir un intendant, mais plutôt que le garçon qualifie...la prostituion, comme un travail. Et qu'il le dise avec un tel détachement voire une joie non feinte! Même lui ne pourrait jamais parvenir à dire ça, bien qu'il soit très doué pour mentir...Peut-être que ce Myoki était sincère dans ses expressions...Il...aimait peut-être cela. CHarles frissona. Et au lieu de continuer à le fixer avec un regard choqué, il préféra poursuivre:

"Ah, dans ce cas j'essaieais de trouver un intendant..."

La question suivante le détendit un peu, bien que la réponse ne soit pas heureuse. Il dit, simplement, sans intonation:

"J'étais une sorte de larbin dans un Manoir, jusqu'à ce qu'on me chasse. Ensuite j'ai errer dans les rues, jusqu'ici."

Pas le peine d'entrer dans le détails. 1) parce qu'ils ne se connaissaient pas et 2) parce qu'il n'aimait parler de ça.
Il ajouta:

"Et toi?"

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki avait en effet un prénom assez étrange, dernier don de sa mère défainte, et dernier héritage de ses gouts. Jamais il n'aurait eu le coeur de changer son prénom, surtout qu'il faisait très exotique et que ça semblait bien aller avec ce petit bout d'homme qu'était le jeune homme...
Ce qui était aussi "exotique" était sa manière de voir le fait d'etre un prostitué comme un travail.

Myoki ne connaissait que ça. Il avait toujours était un prostitué pour faire gagner du pain à sa belle mère, pour qu'ils puissent vivre un minimum après la déchéance de leur père... Myoki ne connaissait rien d'autre, donc de là venait le fait que pour lui c'état un travail comme un aute que Dieu avait donné....

Le jeune homme écouta attentivement Charles lui parler et lui dire où il travaillait avant... C'était dommage qu'il n'ait pas continué à travailler dans ce Manoir..; La rue, ça n'était pas très cool ça mais peut-être que maintenant, ça irait mieux....enfin il l'espérait... Il aurait voulut lui dire qu'ici ça irait mieux... Mais la question lui fut retrouné...

"Ho...Et bien.... Je faisais la même chose qu'ici... Ma belle mère avait besoin de plus d'argent alors Monsieur De Guerrey à eccepté de lui en donné si je travail ici...."

Myoki avait dit cela avec le sourire pratiquement... Pour lui, c'était une chose normale!