S'amuser [Réservé]

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

[---> Entrée des compagnons]

Myoki n'avait rien dit de tout le chemin. Il avait un instant cru finir serviteur mais apparemment l'homme avait changé d'avis. Il lui fit signe de le suivre et Myoki obéïs. La demeure était tout de même assez luxueuse et semblait pleine de passages en tout genre. Peut-être que finalement, il se sentirait mieux ici que chez lui.... Il se sentirait moins étouffé... Quoique cet endroit avait tout aussi l'air d'une prison dorée...

Enfin pour le moment, Myoki n'y pensa pas et eut un léger sourire à la demande du bain. Le prendre dans les quartiers de cet homme lui semblait incroyable mais c'était vrai. L'homme ne s'arrêta que lorsqu'il arriva devant une porte de bois presque noir et aussi froide que lui. Il entra et referma le battant juste derrière le nouveau compagnon...

La pièce était un salon. Une cheminée en marbre diffusé une douce chaleure dans la pièce dans les tons pourtant froid. Myoki n'avait jamais vu autant de luxe. Un sofa qui avait l'air tout, une table de bois et au centre, un baquet que des jeunes filles étaient en train de remplir d'eau chaude et foide.
Myoki regardait dans tous les sens ayant de la peine à croire qu'il pouvait être ici. Ses yeux brillaient étrangement de bonheur... Pour une fois, il était content d'être partit de chez lui... chez lui où on se lavé avec l'eau glacé de la Seine, où on mangeait le pain noir et dur...

Pourtant il ne pipa mot et finit par se placer devant Julien et s'inclina une nouvelle fois devant lui avant de se redresser sans pour autant oser le regarder. Non, il était...trop charismatique et froid... Myoki en avait presque peur... Et puis c'était un noble, un gueux comme lui n'avait pas à le regarder en face... Surtout ausis crasseux que lui!

Julien ne décrocha pas un mot de tout le trajet, il n'en avait aucunement besoin d'ailleurs. Myoki suivait et c'était tout. Pas besoin non plus de faire la conversation avec un gueux de son espèce, et puis quoi encore, Julien avait sa dignité, il était le seigneur de Guerray et se voyait mal entamer une discussion avec quelqu'un de ce genre.

Ils arrivèrent enfin devant la grande porte qu'ouvrit le jeune seigneur sans même se soucier de la présence du compagnon à ses côtés et pénétra dans ses luxueux appartements avant de refermer la porte après le jeune homme et se diriger vers le sofa aux couleurs criardes à la mode où il s'assit avant de croiser ses jambes avec grâces et d'enfin regarder la créature en face de lui qui semblait émmerveillée par tant de luxe.

Il faut dire qu'il n'était pas donné à tout le monde de pénétrer dans ces appartements. Seuls quelques très rares clients y étaiens invités et encore Julien était dans ces très bons jours dans ces cas là, le jeune seigneur n'était pas du genre très mondain et ne se montrait au salon que par politesse et pour montrer qu'il était ici le maître et qu'il valait mieux laisser de côté les querelles politiques. Il ne tolérait pas que les rivalités entre nobles saccages ce magnifique endroit qu'il avait aidé à construire et dont il s'était occupé pendant tant d'années.

Myoki baissa de nouveau la tête en présence du seigneur de Guerray et celui-ci en fut satisfait, rien de mieux que quelqu'un qui savait où se trouvait sa place. Il regarda ensuite le baquet puis les servantes qui attendaient que leur seigneur deigne se montrer à elles pour le laver. QU'elle ne serait pas leur surprise en voyant que ce n'était pas pour lui... D'ailleurs la puanteur du gueu commença à l'insupporter et il fronça les sourcils avant de montrer le baquet du regard.

"Tu pue, lave-toi. Je verrais ce que je ferais de toi après."

Il avait parlé d'un ton impérieux de sa voix douce et charismatique avant de se diriger vers son bureau et d'attendre que le jeune homme fasse sa toilette. Il avait bien l'intention de voir où la pauvre créature pouvait aller et il comptait bien s'amuser un peu avec elle, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas pris part aux propres joies de son établissement...

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki se demandait vraiment ce qu'il faisait là. Etait-ce comme ça avec tout le monde? Le jeune homme en doutait mais alors, que faisait-il là? Dans les appartement de ce noble homme responsable de l'établissement? Myoki ne le savait pas et d'un coté, il s'en fichait un peu à vrai dire. Il ne voulait qu'un toit sur la tête et de quoi gagner un peu d'argent pour pouvoir vivre plus tard... Si un jour il quittait cet endroit...

Julien leva enfin les yeux sur lui pour lui dire qu'il puait. C'est vrai que depuis deux jours qu'il avait quitté sa maison il ne devait pas sentir la rose. Il devait avoir un mélange entre la transpiration, l'odeur de la paille humide et de la boue... C'était en effet pas vraiment agréable. Il eut le droit de se laver. enfin, il allait pouvoir se débarrasser de cette affreuse odeur et de ces vêtements trop serrés...

"Merci monseigneur..."

Murmura le jeune homme qui se dirigea vers le baquet. Il posa son sac maigre de linge à coté et commença à se déshabiller sous les gloussements des jeunes filles. Très maigres, on pouvait voir les cotes du jeune homme très nettement sur son corps ainsi que ses hanches. Mais cela ne faisait que renforcer sa beauté et il n'en paraissait pas moche.
Il entra dans l'eau chaude et s'imergea totalement même ses cheveux. Il apprécia le contact de l'eau chaude sur sa peau froide et crasseuse.

Très vite les jeunes filles commencèrent à le laver. il se laissa faire, ayant l'habitude à la maison. c'était toujours sa plus grande soeur qui le lavé. Mais elle était beaucoup moins douces que les jeunes filles qui le lavé avec une douce éponge et de l'eau parfumé... Que ça sentait bon le savon... A la maison, c'était avec des herbes que l'on se lavé et une éponge rugueuse qui faisait rougir sa peau fragile... Mais là c'était doux et il se laissa faire totalement...

On finit par le rincer et il sortit, l'eau commençant à être froide. Les jeunes filles lui tendirent une serviette avant de sortir de la pièce en gloussant et parlant de ce qu'elles venaient de voir. Myoki se sécha correctement mais n'osa pas se rhabiller... Que devait-il mettre, son peignoir, héritage de sa mère, venus d'ailleurs? Peut-être qu'il allait avoir des vêtements spéciaux ici...
Alors il garda sa serviette qu'il noua autour de ses hanches saillantes et s'approcha de Julien doucement. Il se mit devant lui et se tordit un peu les doigts avant de parler de sa voix douce et calme.

"Puis-je me rhabiller monseigneur?"

Un ton pleins de soumission et d'obéissance.

Julien de Guerray lisait quelques papiers en face de lui sans se soucier des gloussements de ses servantes, cela voulait dire que le petit ne devait pas être trop mal. Car même si ces jeunes filles se satisfaisaient de peu elles savaient reconnaîtrent la beauté en soi.

Finalement le jeune seigneur fut tiré de sa lecture par la voix du serviteur qui lui demandait s'il pouvait s'habiller. Julien le regarda un instant et sembla réfléchir avant de se lever et d'approcher dangereusement du jeune homme et de prendre son visage entre ses doigts pour le regarder de plus près.

Son regard était froid et dominateur il scrutait chaque parcelle de son visage et de ses yeux, le forçant à soutenir son regard alors que celui-ci tentait de se dérober. Puis la deuxième main de Julien vint à la rencontre de la serviette de son serviteur et la fit tomber à terre. Il repoussa légèrement Myoki sans pour autant le lâcher er admira ce qu'il avait devant les yeux. Il n'était pas mal ce petit et le seigneur de Guerray se fit une note mentale de récompenser ses gens pour cette trouvaille.

Puis sa main glissa du visage du jeune homme pour effleurer la peau douce et propre qui s'offrait à lui. Il descendit tout doucement, frôlant sa peau pâle de ses doigts fin, et attéris au niveau des reins de sa victime. Il regardait ce corps tel un objet, une marchandise et se déléctait de le voir frissonner à son passage. Puis Julien glissa avec lascivité sa main sur les fesses de Myoki et les pris en main fermement pour sentir ses petites lunes rebondies entre ses doigts.

Finalement le seigneur de Guerray arrêta tout sans prévenir et retourna à son bureau sans lâcher un seul regard à son serviteur. Il ferait un bon compagnon s'il restait soumis et obéissant de la sorte. Mais quelque part Julien ne souhaitais pas vraiment que Myoki appartienne à quelqu'un d'autre, sa peau blanche avait quelque chose de magnifique et était douce malgrès la vie qu'il avait du avoir auparavant.

Julien deigna tout de même tirer sur une sonnette pour faire venir un serviteur. Celui-ci savait parfaitement ce qu'il devait faire et prit les affaires du gamin avant de sortir pour revenir quelques minutes plus tard avec des vêtements propre pour le jeune homme. Et pas seulement propre, de bonne qualité aussi, après tout un compagnon se devait d'être propre sur lui avant de faire plaisir à un client, qui irait toucher un gueux couvert de boue et puant la crotte ?

Le jeune seigneur observa Myoki s'habiller du coin de l'oeil sans arquer un sourcil et lorsqu'il eut finit il lui montra le sofa pour lui signifier d'attendre qu'il est terminer pour qu'il deigne s'occuper de lui... enfin, s'il ne l'oubliait pas entre-temps... Il faut dire que pour Julien de Guerray il n'y avait rien de plus insignifiant que ces créatures des bas fond de Paris qui malgrès leurs physique avantageux étaient et resteraient toujours des êtres sale et sans manières. Il espérait tout de même ne pas à avoir le mater de trop, ça aurait été dommage de marquer cette peau blanche...

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Myoki était tout propre et tout beau... enfin, beau, il suffisait juste d'enlever la crasse marron de sa peau pour qu'elle retrouve cet aspect blanc que beaucoup de jeune fille lui envirait. N'étant pratiquement jamais sortit, le soleil n'avait pu la brunir et lui donnait cet aspect fragile et aussi pâle que le blanc lui même... Enfin, maintenant il s'agissait de savoir s'il aillait rester nu et risquer de chopper la fièvre ou s'il allait avoir le droit de s'habiller un tant soit peu.

Ses paroles semblèrent tirer le proprièétaire des lieux de ses papiers. Il se leva et s'approcha du jeune homme jusqu'à lui relever la tête. Myoki tenta de ne pas regarder l'homme dans les yeux mais c'était assez difficile. L'homme avait quelque chose d'attirant et de magnétique. Pourtant il se laissa faire et fixa enfin son regard au dessus de l'épaule de l'homme, évitant ainsi son regard.

Et puis, il sembla à Myoki que Julien testait un peu la marchandise. Il lui enleva la serviette qui tomba au sol avant de le regarder comme un vulgaire bout de pain ou de viande. Il ne lacha pas son menton alors que la main venait se loger dans le crain des reins de Myoki qui ne put empêcher un frisson de lui parcourir le corps et il réprima un gris de surprise quand les mains de l'homme enveloppérent ses fesses comme pour voir si elles avaient la bonne taille ou si la peau était assez douce...

Myoki se crispa légèrement avant que tout à coup... Plus rien... L'homme le lacha et se recula jusqu'à son bureau. Il s'y assit et sonna un serviteur. Le jeune compagnon vit ses vêtements s'en aller et un serviteur revenir avec des vêtements. Il l'habilla d'un pantalon classe et non serré ce qui était une bonne chose et noir et d'une chemise blanche à cordon et manche large. Myoki sourit un peu, il semblait flotter dans les vêtements un peu grands mais ne se plaignit pas et se tourna vers Julien.

Il lui indiqua le sofa et Myoki osa à peine s'y assoir. Il s'assit juste sur le bout et attendit sagement, ses mains sur les cuisses. Il ne bougea pas et respirait tellement lentement qu'il était certain que Julien l'oublierait. On oubliait très vite ce petit bout d'homme qui était si sage et discret qu'il pouvait en devenir transparent... C'était assez intéressant, sachant que même fatigué comme il était à cet instant il n'eut même pas l'idée de s'allonger et resta assis en silence, les yeux rivés sur le bureau en attente d'un ordre quelconque.

Julien travailla un long moment sans se préoccuper du gamin sur le sofa, il n'en avait rien à faire qu'il soit fatigué ou autre, pour le moment l'héritier de Guerray avait d'autres choses en tête qu'un gueux sur un canapé. Il avait ses compte à gérer par exemple, entre la nourriture pour les clients, celle pour les compagnons, soigner les dits compagnons par moment... c'est que ce n'était pas donné de s'occuper d'un tel endroit et heureusement que les clients payaient grassements pour s'amuser sinon il ne s'en sortirait pas...

Finalement, au bout de plus d'une heure, Julien leva le nez de ses papiers et s'étira dans sa chaise avant de se lever pour faire quelques pas et se placer devant la cheminée et aspirer la chaleur qui en émanait. Il contempla les flammes un long et délicieux moment avant de se retourner et de découvrire Myoki assis sagement sur le sofa.

Julien ne prit en aucun cas un air surpris, ni n'émit aucun sentiment, il le regarda juste comme on regardait une table et puis il s'avança enfin vers lui et lui releva le visage pour le regarder droit dans les yeux de son regard envoutant et terriblement froid à la fois.

"Sait-tu pourquoi tu te trouve dans cette demeure ?"

Une simple question de son ton neutre et froid à la fois. Il voulait savoir s'il allait devoir tout expliquer à cette créature où si ce n'était pas la peine et dans ce cas là il pourrait aller plus vite dans le vif du sujet... Pas que ça le gênait de devoir tout expliquer mais c'était ennuyeux au possible et Julien n'aimait pas s'ennuyer plus que ça.

Le seigneur de Guerray attendis donc calmement lé réponse du jeune compagnon tout en gardant son regard braqué dans le sien, se déléctant de leur magnifique couleur et le laissant admirer ses prunelles grises et blasées.

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki resta sagement assis sur le canapé pendant longtemps. Jusqu'à ce que Julien décide de s'occuper de lui. Ce fut long et ennuyant mais comme un sage petit garçon le jeune compagnon ne bougea pas. Il suivit du regard l'homme qui s'étira pour aller finalement se mettre devant la cheminée pour capter sa chaleure bienviellante. Il porta un regard froid sur Myoki qui baissa aussitôt les yeux et regarda ses doigts sur son pantalon de bonne qualité.

Mais une main se saisit de son menton et releva son visage, envoyant quelques mèches chatains devant les yeux du jeune compagnon qui fut obligé de soutenir le regard si froid et pourtant si magnétique de Julien. Ce qu'il faisait là? Il s'en doutait... après tout vu dans quoi sa belle mère l'avait entraîné ces derniers temps ça ne l'étonnerait pas... Et puis n'était-ce pas le sexe qui rapportait le plus en ces temps de misères?!

"Je... Je pense que oui...."

Murmura-t-il doucement baissant les yeux un instant et rougissant légèrement avant de relever les yeux. Si Julien avait relevé son visage ça n'était sans doute pas pour qu'il baisse les yeux mais pour qu'il le regarde... Myoki aurait aimé se tromper sur le pourquoi il était ici, mais le bain, la qualité des vêtements, la façon dont l'avait touché l'homme ne faisait plus de doute... il serait un compagnon, il ne servirait qu'à donner du plaisir à des plus riches que lui... C'était désolant mais pourtant, Myoki n'en voulait toujours pas à quelqu'un, c'était la vie, elle était dicté par Dieu alors il devait agir ainsi...

(niouf... réussi malgré la fièvre et la tête qui tourne, je suis trop forte ! XD)

Oui, Dieu dans toute sa miséricorde avait permis à ce gamin sans le sou d'atterrir dans la demeure de Julien de Guerray pour le distraire. Après tout Dieu n'avait-il pas favorisé le jeune aristocrate dès la naissance ? Ce jeune gueux devait se sentir en joie d'avoir reçu nles bienfaits de leur seigneur tout puissant.

Mais revenons à nos moutons, ainsi donc Myoki se doutait de ce qu'il allait lui arriver… tant mieux, pas besoin de trop expliquer dans ce cas là. Pourtant quelque chose gênait de Guerray, c'était étrange à dire mais même sans l'avoir toucher ou quoique ce soit Julien éprouvait déjà une certaine possessivité à son égard. Un bien étrange sentiment, comme si Myoki ne devait appartenir qu'à lui et à lui seul. Après tout n'était-ce pas le destin dicté par Dieu lui-même qui les avaient poussés à se rencontrer ? Sûrement pas dans un tel endroit de luxure… alors était-ce le diable ? Julien claqua sa langue, il tenait visiblement aux précepte de sa mère et en oubliait la logique nouvelle qui naissait depuis quelques années.

Julien de Guerray cessa pourtant ses réfléxions philosophiques et reprit ce qu'il était en train de faire, c'est à dire s'occuper de ce jeune compagnon. L'homme tira sur le menton pour l'obliger à se lever et posa sa main libre sur l'entrejambe du garçon sans pour autant la bouger. Il voulait juste voir sa réaction, savoir s'il était tendu ou nerveux, ou s'il ne ressentait rien de particulier.

En fait de Guerray espérait tout de même qu'il réagisse, il aimait bien ressentir une certaine crainte de la part de ses jouets, et ce n'était rien comparé à la terreur, oui il aimait qu'on le craigne et qu'en même temps on ne puisse se passer de lui. En fait, c'était désormais décidé, ce garçon deviendrait son jouet à lui et rien qu'à lui. Il serait dépendant de son seigneur et en aurait en même temps peur. Il rêverait qu'il l'appel près de lui et maudirais ce sentiment en même temps, il voulait le rendre fou de lui.

"Bien…"

Julien ne dit rien d'autre et approcha dangereusement son visage de celui de son vis à vis avant de l'enlever brusquement sans même lui déposer un baiser chaste alors qu'il n'avait été qu'à quelques millimètre de sa bouche, lui apposant son souffle sur les lèvres. Il avait envie de le frustrer plus que jamais, il voulait qu'il le supplie de l'embrasser et de le toucher. Il mit alors ses mains sur ses hanches et regarda Myoki de haut en bas avant de finalement tendre sa main vers sa joue et de la frôler sans la toucher, le laissant juste ressentir sa chaleur et un semblant de contact. Puis il descendit par le cou et s'arrêta au niveau de sa chemise en lin, elle était définitivement de trop ici, il fit un signe à Myoki pour qu'il l'enlève avant de reprendre le parcours de son torse en le frôlant légèrement, de la frustration à l'état pur. Il voulait l'entendre supplier soit de le laisser tranquille soit d'y aller franco. Il voulait entendre sa voix chevrotante d'un désir inavoué et allait y arriver quoi qu'il arrive. Non, il ne le toucherais pas pour le moment, il voulait le voir trembler et gémir de frustration que son sexe se gonfle sans qu'il est besoin de rien faire… Il ne fallait pas croire que parce que Julien ne copulait pas souvent avec ses compagnons qu'il ne savait pas comment jouer avec, il était même assez doué à ce petit jeu mais avait d'autre soucis en tête la plupart du temps.

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki n'avait pas bougé de sa place jusqu'à ce que Julien ne s'occupe de lui. Il lui demanda s'il savait pourquoi il était là et le jeune homme approuva. Bien sur, il s'en doutait. Sa mère ne l'avait sans doute pas vendu pour qu'il fasse la cuisine ou autre. Non, il était là pour continuer ceux à quoi elle l'avait innité... Les plaisirs de la chair et la soumission la plus totale. Il regarda un peu Julien et lui sourit. Il semblait perdu dans ses pensées mais même là, il dégageait quelque chose de...Fort...

Une pression sur son menton suffit à le faire se lever. Il ne bougea pas, laissant Julien l'observer et... Lui mettre une main sur son entre jambe. Myoki rougit et tenta de rester neutre. Pourtant, il devait l'avouer, ça lui faisait quelque chose et il se mit à se mordiller la lèvre, signe que Julien ne le laissait pas de marbre... Mais bien vite, la main se retira et Myoki en eut un soupir... Soupir de frustration? Oui, bien sur... Mais pour le moment il tenta de ne rien montrer.

Tout à coup, le visage du propriétaire des lieux se rapprocha dangereusement du sien laissant le souffle chaud se promener sur les lèvres, qui s'entrouvrérent, de Myoki. Mais là, rien non plus... rien du tout et Myoki commença à gigoter légèrement tentant de cacher la légère éréction qui commençait à le saisir... Il pensait que ça serait tout et baissa les yeux mais une main qui vint frôler sa joue la lui fit relever. Il se mordit de nouveau la lèvre et laissa la main vagabonder sur sa peau frémissante.

Bien vite sa chemise fut retirée sous l'ordre muet et la peau de Myoki se mit à frissonner... Il lacha quelques soupir quand les doigts frolaient un endroit plus sensible que les autres. Ho oui, Julien jouait avec lui, et en soumis que Myoki était il savait très bien ce que l'homme voulait. Il voulait se faire supplier... Alors après une nouveau soupir, il parla. Sa voix était un peu chevrotante et hésitante... Il espérait ne pas faire de bêtises.

"Mon...Monseigneur...."

De Guerray avançait sa main sur la peau fine et pâle de son soumis avec une certaine déléctation, il réagissait comme prévu. Son membre commençait à entrer en éréction à peine touché et sa peau se hérissait à son contact. Il pouvait clairement entendre les soupirs de cet être et Julien se permis un léger sourire de triomphe. Il était comme il le souhaitait il en voulait plus ça se sentait.

Mais est-ce que le seigneur de Guerray deignerait répondre aux attentes du jeune homme ? Pas sûr. Après tout il avait bien envie de le torturer psychologiquement, voir jusqu'où il pourrait endurer ce traitement. Il voulait le voir perdre la tête et qu'il le supplie carrément de le toucher et plus, il voulait qu'il fasse une erreur et qu'il ose aller plus loin de lui-même, il voulait le rendre fou, tout simplement.

Puis finalement la petite chose émit un son d'une petite voix chevrottante et pleine d'hésitation. Il l'appelait, il osait s'adresser à lui... c'était un bon début de folie mais pas assez pour Julien qui fit descendre sensiblement sa main pour frôler son membre à travers son pantalon. Il y allait tout doucement, le sentant devenir dur de plus en plus. Le jeune seigneur remonta alors sa frustrante main pour retourner au cou de son compagnon, reprenant ses douces fausses caresses.

"Qu'y a-t-il ?"

Question qui n'avait rien d'innocente mais dit d'une voix calme et quelque peu absente. Il voulait le forcer à supplier de tout son être, à avouer ce qu'il voulait. Et pour cela Julien était doué, ses mains parcouraient son corps qui se recouvrait de frissons, il ne le toucherait pas pour le moment, il voulait jouer avec lui. Il voulait que la folie s'empare de lui il voulait entendre sa voix, il voulait voir ses mains bouger malgré lui, il voulait voir son sex se gonfler malgré lui.

De guerray continuait donc sans sourciller, gardant son regard froid et calme dans celui de Myoki, remarquant avec déléctation sa lèvre être torturé par lui même ainsi que cette éxpréssion d'hésitation. Lorsqu'il serait fou de désir pour lui il le rendrait totalement effrayé. Il allait bien s'amuser avec ce jeune homme pour une fois, tiens.

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Julien se jouait de lui, c'était sur. Il ne le caressait pas, ne le touchait pas mais le frolé ce qui était sans doute pire. Myoki tentait de se maîtriser mais savait pertinemment ce que voulait l'homme. Il l'appela de sa voix hésitante et chevrottante. Qu'il arrête ou qu'il y aille plus franco... Pourquoi le torturait-il ainsi?! avait-il fait quelque chose de mal?! Rien, mais ce n'était peut-être qu'un test?! Myoki s'y soumettait sagement.

Son corps se cambra légèrement, quand la main revint se poser sur son entre jambe qui durcit encore plus. La question sembla... Comment dire... Un brun provocatrice pour Myoki qui sentait son coeur battre un peu plus vite dans sa poitrine. Son souffle se faisait un peu plus rapide... Calme, il fallait qu'il reste calme, il ne fallait pas qu'il fasse de geste... Il serra juste les poings... Calme...

"S...S'il vous plait.... Monsieur...."

Il le supplié la... Qu'il arrête ou qu'iul le soulage... il vaudrait mieux qu'il le soulage, une bosse déformé déjà le beau pantalon noir qu'il lui avait donné... Myoki tentait de la cacher mais plus il se dandinait, plus il avait envie que Julien le touche et arrête de juste le frôler... S'en était presque insupportable...

Un nouveau sourire carnassier apparue sur les lèvres de Julien à la supplique de son compagnon. Il le suppliait enfin, il semblait réellement prêt à aller plus loin et Julien aurait bien eut envie de le satisfaire pendant une seconde... mais non. Il n'allait pas le faire, il allait le rendre totalement fou. C'était le but de toute façon.

Le jeune seigneur de Guerray réfléchit quelques instant tout en continuant ce traitement à son jouet. Qu'allait-il bien pouvoir lui faire ? Continuer jusqu'à ce qu'il craque ? C'était une idée, une brillante idée même, mais un peu de nouveauté ne ferait pas de mal, ça allait même le déstabiliser encore plus...

"Et bien... tu as un problème ?"

Il ne voulait pas seulement des suppliques il voulait qu'il soit totalement fou de désir pour lui et il allait y arriver. Ses poings étaient sérrés et le regard de son seigneur dans le sien, tellement envoûtant, ne devait pas aider. Puis finalement sa main arrêta son petit jeu et alla se placer derrière la nuque du jeune homme pour l'attirer vers lui.

Sa bouche se rapprocha dangeureusement de celle de Myoki mais au tout dernier moment, alors que leur bouche entrouverte étaient prêtes à se méler, celle de Julien dévia vers l'oreille du pauvre Myoki pour lui susurrer des mots doux à l'oreille (hum...)

"Quel est donc le problème jeune sot... tu n'aime pas cette attention que je te porte ? Sache que tu peux d'ores et déjà te sentir pivilégié d'être près de moi... qu'allons nous faire ensuite ? J'ai une curieuse envie de te faire souffrir... qu'en dis-tu ?"

Oui, maintenant qu'il le voulait comme jamais il allait lui faire regretter ces sentiments et le rendre effrayé de sa personne. Sa main sur sa nuque se resserra légèrement, doucement, de plus en plus. Alors que sa deuxième main reprenait ses fausses carresses sur le torse du jeune homme. Si avec ça il ne devenait pas totalement fou...

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Les souires de Julien n'était pas un poil rassurant pour Myoki qui pourtant ne faisait rien. Ne pas bouger, ne pas tenter de fuir, essayer de ne pas avoir peur... Non, il venait de le supplier, il n'allait pas lui faire de mal, il ne pouvait pas... Enfin, si il avait tous les droits sur lui, comme celui de le regarder comme ça, de sourire comme ça, de jouer avce lui, le faisant frissonner, rougir et soupirer...

Et l'homme décida de le déstabiliser... La main glissa derrière sa nuque et Myoki eut un petit gémissement. Sa nuque un endroit très sensible, comme son ventre. Une bouche contre la sienne et Myoki ouvrit les lèvres. Il ferma les yeux mais Julien ne l'embrassa pas. Non, il se pencha à son oreille et chuchotta quelques mots qui firent encore plus frémir Myoki autant de peur que de plaisir...

La main sur sa nuque, l'autre sur son corps. Il ne savait plus vraiment que penser. Mais il ne devait pas penser. Un soumis ne pensait pas, un gueux ne pensait pas. Il n'avait jamais eu le droit de penser et encore moins maintenant... Alors il rouvrit les yeux, continuant de se mordiller la lèvre qui était toute rouge et enflée maintenant... Pourquoi il jouait comme ça avec lui... Myoki en était des plus destabilisé et... Il avait un peu peur maintenant...

Le petit être posa ses mains sur le torse de Julien et tenta de le pousser un peu. sa lèvre rougit allait se mettre à saigner sous peu... Il voulait... il ne savait plus ce qu'il voulait! Il devait se laisser faire mais n'avait pas envie de souffrir...

"Vous...s'il vous plait... monsieur... Ne...Me faites pas de mal...S'il vous plait..."

La petite voix semblait encore plus petite, moins sur, chevrottante et simplement quémendeuse d'un peu de gentillesse!

Julien se déléctait des petits mouvements de son sot de compagnons, comme c'était divertissant de le voir se perdre de plus en plus dans ses sentiments sans savoir quoi vouloir. Et puis cette lèvre mordue presque jusqu'au sang... le seigneur de Guerray était plus que satisfait des résultats de son traitement. Bientôt il le supplierais de le prendre et d'arrêter de lui faire mal...

Et ça arriva bien vite puisque la petite voix chevrottante de Myoki retenti soudain dans la pièce alors que sa main se posait sur le torse de son seigneur. Un sourire carnassier apparut sur les lèvres de Julien qui attrappa la main fautive sur son torse et lui enserra le poignet avec force tout en serrant un peu plus la nuque du jeune homme.

"Qui fait du mal ? Le mal n'existe pas, seul le plaisir compte. Ne sens-tu pas ce désir monter en toi... regarde comme tu est déjà impatient de m'acceuillir..."

En disant ces mots Julien guida la main du gueux vers son entrejambe et le força à se la toucher pour sentir sa bosse durcissant de plus en plus. Julien relâcha le cou de sa victime et appuya de sa main nouvellement libérée sur le menton de Myoki pour écarter ses lèvres gonflées. Il passa son pouce dessus lentement avant d'y approcher une nouvelle fois ses lèvres et de les apposer sur cette petite bouche torturée.

L'embrassa-t-il ? Non, certainement pas, ce n'était pas encore le moment, loin de là. Il mordilla les lèvres du jeune homme comme ce dernier l'avait fait précédemment tout en forçant la main du jeune sot à se carresser lui-même l'entre-jambe en même temps. Ce mélange de douleur et de plaisir confondu... le pauvre ne devait plus savoir où il en était.

Mais Julien ne s'arrêta pas là et, sans prévenir, stoppa tout. Il lâcha Myoki et retourna devant le feu comme si de rien n'était. Son regard et son visage reprenant leur air impassible comme si rien de tout cela n'était arrivé, comme si le jeune homme avait rêvé ce qui c'était produit. Le jeune seigneur ne porta aucune attention à son compagnon et le laissa entièrement frustré derrière lui.

Qu'attendais Julien ? Tout et rien, il voulait tester son nouveau jouet, voir s'il était à la hauteur de ses espérance, voir s'il le suppliait de venir le soulager malgré la souffrance. Il voulait qu'il se trouve fou pour désirer un être tel que lui, il voulait qu'il se haïsse pour ce qu'il allait demander... Oui Julien ne voulait pas d'un être totalement soumis à ses désirs, ce n'était pas drôle, il fallait qu'il se fasse violence à chaque fois, il fallait qu'il devienne fou de lui...

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki ne savait plus trop où il en était. Ce que lui faisait Julien était très agréable mais en même temps... En même temps il ne voulait pas souffrir. Certes myoki était un pure soumis, mais pas au point d'aller se jeter dans la Seine si on lui demandait! Il y avait des limites! Et là, prdu dans ses sentiments il ne savait plus quoi faire et supplia l'homme de ne pas lui faire de mal en essayant de le repousser...

Son poignet fut alors durement saisit et serré et sa nuque de même. Il poussa un petit gémissement de douleur et tenta de se dégager n'écoutant que d'une oerille mais sursauta quand sa main fut placé sur sa propre virilité qui gonfla un peu plus sous ses propres doigts... Non... il ne voulait... Pas... pas comme ça... c'était humiliant... Myoki tenta bien de se défaire de cette emprise sans y arriver et gémissait tantôt de douleur du à sa lèvre mordiller par Julien et tantôt de plaisir... Il devait se caresser mais en avait honte et ses yeux brûlaient de larmes...

Et tout à coup, plus rien... Julien le lacha et partit... Myoki était haletant et désorienté. Il ne savait plus quoi faire, quoi penser... Ses jambes tremblèrent et il vascilla au sol, il resta à genoux comme ça, essayant de ne pas regarder sa virilité en éréction dans son pantalon... essayant de ne pas penser à sa lèvres qui allait saigner... Il avait peur... Julien lui avait fais peur mais en même temps... Il ne pouvait pas vraiment lui désobéir... Il n'avait jamais fait ça de sa vie...

"Pourquoi... Pourquoi vous faites ça avec moi monsieur... ai-je été méchant? Est ce que je vous ai désobéit...."

Sa voix était faible et chevrotante, il ne savait plus quoi penser... Il avait encore envie de sentir les mains de Julien pour le soulager mais pas pour lui faire mal...

De Guerray observait les flammes danser dans le feu de la cheminée avec passion. Il était captivé par elles et ne semblait pas pouvoir décrocher de cette vision magnifique qui s'offrait à lui en ce moment même. Pourtant quelque chose le fit revenir à lui à un moment donné : un bruit. Un bruit sourd qui fit sourire légèrement l'aristocrate, le bruit significatif de quelqu'un tombant à genou. Myoki venait de céder une première fois et ne ne serait sûrement pas la dernière.

Il devait se sentir complètement perdu le pauvre, mais est-ce que Julien répondrait à ses prières ? Pas sûr, ce n'était pas vraiment son genre, il fallait y mettre beaucoup de sien pour cela. Puis la voix se fit entendre de nouveau et tira un nouveaut léger sourire de la part du jeune seigneur qui deigna se retourner pour découvrir sa créature au sol.

Julien s'approcha et s'assit dans le canapé en croisant ses jambes avec grâce après s'être servi un verre. Il tourna le liquide ambré entre ses mains comme s'il réfléchissait à ce qui avait bien pu le poussé à faire ça. Puis il décocha un coup dans le derrière du jeune homme qui termina sur le sol. De guerray ne se leva pas et lui jetta à peine un regard avant de boire doucement une gorgée de son verre.

"Pourquoi hum... Parce que ça m'amuse, tout simplement. Crois moi si tu avais désobéis tu serais déjà attaché dans un coin couvert de trace de coup de fouet. Non, tu m'amuse c'est tout."

Il rebut une légère gorgée après ces paroles sans sentiments et froides puis se leva et s'installa dans un fauteuil en face du compagnon pour qu'il le voit bien. Il tendis ensuite son bras pour prendre un tisonnier et le faire rouler entre les doigts de sa main libre.

"Si tu savais le nombre de chose qui m'amuse... c'est impressionnant. Mais pour le moment... déshabille-toi et carresse toi."

Il continua de jouer avec le tisonnier et croisa ses jambes tout en regardant faire le jeune sot en face de lui. Il avait interêt à être du genre amusant sinon il ne ferait pas long feu auprès de Julien. Le toucherais-t-il par la suite ? Tout dépendrais de ce jeune homme et de ses actions futures...

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki était perdu. Il ne savait plus quoi penser et décida de demander la raison de tout ça au seigneur qui lui tournait le dos pour le moment, semblant captivé par les flammes de la cheminée qui n'arrivait plus à réchauffer Myoki. A genoux sur le sol froid, ses jambes tremblaient encore trop pour pouvoir le porter...

Myoki regarda Julien se déplacer pour finalement venir s'assoir sur le canapé. il croisa les jambes et prit un verre avant de lui décrocher un coup dans les fesses. Myoki s'étala sur le sol et se redressa doucement pour finir assis. Il écouta Julien et frissonna... Il ne serait jamais désobéissant. Il ne voulait ps avoir mal et être fouetté... Il ne voulait pas qu'on le tape, il était trop fragile pour ça...

Julien changea alors de place, jouant avec cette tige de fer... Du fer qui chauffé très facilement dans le feu... une nouvelle fois Myoki eut un frisson et n'osa pas lever les yeux sur son seigneur. Se déshabiller et se caresser?! Non.... C'était...Humiliant... Mais un regard sur l'objet fit obéit le jeune compagnon.

Myoki s'assit et retira son pantalon doucement. Il le posa délicatement sur le sol et en rougissant commença à se passer les mains sur le corps, doucement, sensuellement... Il porta quelques doigts à sabouche, provocateur avant de laisser sa main retracer les courbes de son corps. C'était un peu timide mais on ne lui avait jamais demandé ça... il faisait comme il pouvait...

Il continua de se caresser et se mordit la lèvre une nouvelle fois... Cette fois, elle ne resista pas et se mit à saigner doucement. Myoki ne s'arrêta pourtant pas... Il caressa ses tétons qui durcirent malgré lui et sa main descendit sur son ventre et ses cuisses... il soupira, un filet de sang et de salive coulant le long de son menton alors qu'il en venait à caresser son membre...

"S'il...vous plait... Ne me faites pas de mal... Je serais...obéissant... Mais...Je..."

Myoki était tout rouge et franchement encore plus perdu... Il avait les larmes aux yeux et très envie d'aller se cacher... il avait trop honte...

"S'il vous plait...."

Quel pauvre créature insignifiante tout de même... Totalement misérable et à la merci de Julien qui avait bien envie de lui faire plus que mal. Oui bizarrement il était épris de sadisme ce soir là et avait bien envie de s'amuser violement avec ce petit être. Mais il devait se retenir, il ne devait pas totalement l'effrayer avant qu'il ne soit totalement fou de sa personne.

Il lui avait ordonné de se mettre nu et de se carresser. Le jeune homme sembla hésiter mais s'éxécuta finalement. Il tenta même une approche sensuelle mais cela ne dérida pas le seigneur de Guerray, il voulait juste qu'il soit à point le petit être.

Puis la main parcoura le corp fragile de Myoki, se carressant doucement, laissant un filet de sang s'échapper de sa machoire. Puis alors qu'il arrivait enfin à l'endroit cruciale... il supplia de nouveau. Brave petit, timide et appeuré. Parfait pour Julien qui remarqua le regard posé sur son tisonnier. Il croyait qu'il allait le marquer ou autre ? Qu'allait-il donc chercher là, pas encore, pas aujourd'hui...

Mais fut-ce de la pitié ou une envie pressante de finir son dressage ? En tout cas Julien reposa la barre de fer à sa place et tira le gamin vers lui pour lui arracher un baiser violent, mélant sa langue à la sienne, la tournant dans tout les sens et la mordant même par moment. Il prit une de ses mains dans la sienne et la dirigea vers son membre pour le forcer à se carresser. Puis sa deuxième main revint serrer la nuque entre ses doigts.

Ce ballet autant violent que doux se termina au bout de quelques minutes après lesquel Julien se remit dans son fauteuil pour regarder Myoki avec un visage inexpressif. Frustration, tel était le maître mot du dressage de de Guerray. Il en voudrait toujours plus mais ce ne serait que du goutte à goutte jusqu'à ce qu'il soit à point.

Le jeune seigneur se releva une nouvelle fois et s'assit à son bureau pour voir qui était les derniers arrivés et s'ils valaient la peine de déplacer son impèrieuse personne pour eux. Son regard glissa sur la feuilles des clients et chuta sur un nom qui le fit légèrement tousser. Laurent de la Castille ?! Que faisait-il là celui-là ? Julien grogna légèrement en fronçant un sourcil, il allait encore avoir droit aux tentatives de séductions de de la Castille. Le pire c'est qu'il ne pourrait pas l'éviter, avec lui c'était quasiment impossible. Quelque fois Julien se demandait s'il venait pour ses compagnons ou pour le gérant de l'hôtel...

De Guerray reposa sa feuille en maugréant un peu et jetta un oeil au jeune garçon. Au moins il pourrait lui servir d'alibi un petit moment... en tout cas il l'éespérait. Pas que de la Castille soit dérangeant, loin de là, mais son interêt excacerbé envers le seigneur de Guerray n'était pas très apprécié de ce dernier... il connaissait assez bien de la Castille pour savoir qu'une nuit avec lui serait loin d'être de tout repos et Julien n'en avait aucune envie...

C'était bon, Julien était ennervé, il se leva et avança d'un pas rapide vers le jeune homme nu devant lui. Il le releva avec force par les cheveux et le tira par le même endroit vers sa chambre où il le jetta sans ménagement sur le lit avant d'enlever son pantalon et de se mettreau niveau de la tête de lit et d'écarter doucement les jambes.

"Détend moi... maintenant !"

Il n'avait plus envie de jouer pour le moment et le gamin avait interêt à savoir ce qu'il faisait. Julien devait désormais se préparer mentalement à avoir la présence de de la Castille non loin de lui à lui compter fleurette pour le séduire. Il prit donc une profonde inspiration et attendis que Myoki fasse ce qu'il avait à faire...

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Myoki avait peur du tisonnier dans les mains de Julien... Oui, il avait peur de se faire marquer alors il obéit... Il enleva le beau pantalon donné plus tôt et commença à se caresser. Il essayait de le faire le mieux possible pour ne pas s'attirer la colère de Julien... il le supplia... Oui, c'était humiliant, oui il devait passer pour un pauvre soumis... Mais c'était le seul moyen de pouvoir rester sans blessures, de ne pas se faire taper ou autre...

Le seigneur sembla avoir alors pitié et posa le tisonnier avant d'attirer Myoki à lui pour lui voler un baiser brutal... Myoki ferma les yeux et laissa Julien dominer le baiser. Myoki en eut mal au coeur, mais ne montra rien et laissa Julien le guider... De nouveau il dut se caresser et il le fit et puis, une nouvelle fois... Plus rien, le vide totale... Julien le repoussa le laissant une nouvelle fois frustré...

Myoki resta au sol et tenta de reprendre son souffle. il essaya de se calmer et baissa la tête. Que fit Julien? Que pensa-t-il? Myoki ne le sut pas car il ne le regardait pas... Il essayait de ne pas paniquer, de rester calme... C'était sans doute finit maintenant, le test était finit, le propriétaire allait le laisser se reposer un peu maintenant... Mais non, ça ne fut pas finit... Loin de là...

Une douleur lui vrilla les cheveux. Le jeune compagnon grimaça et posa ses mains sur celle de son seigneur qui le leva et le traîna jusqu'à une chambre. Il le poussa sur un lit. Myoki se redressa de suite et se mit à genoux. Son éréction était moins forte, son exitation était redescendus... Il regarda Julien enlever son pantalon et aller se caler contre la tête de lit. Un nouvel ordre tomba...

"Oui monseigneur....."

Myoki avança à genoux entre les jambes de Julien et s'y agenouilla. Il se pencha en avant et commença à embrasser le ventre, caressant les cuisses de ses mains pour finalement venir titiller le membre du propriètaire des lieux de sa langue. Il ne ferma pas les yeux, il ne voulait pas paraître dégoutait même s'il n'aimait pas vraiment faire ça... Non il n'aimait pas du tout.... Il devait obéir...

Ennervé, voilà l'état d'esprit de de Guerray en ce moment même... il savait que d'ici les prochains jours il aurait de la Castille sur le dos et ça avait le don d' l'ennervé. Tout les clients étaient respéctueux et agréables en soi mais lui... lui en avait après Julien. Julien qui avait essayé de s'en débarrasser maintes fois sans succès, c'est qu'il était tenace le bougre, quand il avait une idée en tête ce n'était pas pour cinq minutes...

Le seigneur de Guerray décida donc d'aller plus loin dans le dressage de son compagnon et le jetta sur son lit pour lui demander de le détendre. Le jeune homme acquiesça immédiatement et se mit entre les jambes de son propriétaire pour venir lui léchouiller le ventre et lui carresser les cuisses.

Julien poussa un petit sourire de contentement et se cambra légèrement lorsque les lèvres de Myoki atteignirent son membre se gonflant petit à petit. Il ne le regardais pas, il n'y avait aucun interêt à ça de toute manière. Il le laissait faire, se détendant le plus possible, il ne voulait plus penser à de la Castille et Myoki avait bien interêt à y arriver...

Finalement Julien posa sa tête en arrière, laissant son corp aller à se détendre. Il s'enfonça dans son lit, toujours carresser par son jouet, et se reposa en fermant les yeux, poussant quelques soupir d'encouragement à Myoki, ses jambes ouvertes, offrant son membre en entier...

Quelqu'un arrivant dans la pièce aurait pu croire que le propriétaitre des lieux dormait mais ce n'était pas le cas, loin de là. Non, Julien ne dormait pas, il se détendait, oubliant les soucis de sa journée et profitant de son nouveau jouet. Il avait besoin de se détendre à fonc aujourd"hui...

"Continu..."

Un faible murmure de la part de Julien mais déjà quelque chose. Il sombra petit à petit mais il n'y avait tout de même pas interêt à ce que le gamin arrête, Julien voulait se détendre et n'avait aps vraiment envie de commencer à s'ennerver maintenant... pas encore.

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Myoki avait vraiment eu assez peur et avait totalement perdu le contrôle de lui même. Il était exténué et Julien ne faisait rien pour arranger cet état de fatigue... Non il lui avait montré qu'il avait tous les pouvoirs. Le jeune compagnon n'avait pas franchement désobéit, mais il avait émit de la peur et Julien s'en était tout de même servit... Mais alors qu'il avait cru que c'était finit, l'homme l'avait trainé par les cheveux pour le jeter sur un lit avant de lui ordonner de le détendre... Ni une, ni deux, Myoki se mit entre ses jambes et commença par lui lécher le ventre et caresser ses cuisses avant de s'attaquer au membre de son maître...

Julien sembla appércia, il se cambra et commeça à gémir par moment. Myoki commença donc son travail. La il était sur de ne pas avoir de problème, il était "assez doué" dans ce genre de pratique... Alors il commença d'abord par titiller le membre de Julien de s alangue, la laissant parcourir le pieux de chair, jouant avec le petit canal... Mais finalement, il prit le membre entièrement dans sa bouche pour y enrouler sa langue autour et le faire se durcir totalement...

Le jeune compagnon fut satisfait du simple mot de son propriétaire... Continu... Ca voulait dire qu'il aimait donc... Myoki mit ses mains en mouvement doucement, carressant la peau des cuisses et venant par moment jouer avec les bourses de son prorpiètaire... Devait-il allait jusqu'au bout?! Sans doute alors il commença à accélérer ses mouvements pour détendre le plus possible Julien...

Il espérait qu'après, il pourrait se reposer un peu... Il n'y croyait pas trop, mais peut-être que Julien aurait pitié de lui... Et puis, s'il ne le laissait pas se reposer, il s'évanouirait, comme la fois où sa mère ne lui avait pas laisser s'assoir durant prés de 7 heures.... Il avait simplement et purement fait un malaise avec 2 jours de forte fièvre... Julien ne lui pardonnerait peut-être pas cela...

Julien voulait se relaxer et il y arrivait... il fallait dire que Myoki y mettait du sien sur ce coup là. De toute façon il n'avait pas vraiment le choix... si ? Avec Julien... sûrement pas. Si ce dernier souhaitais se reposer et se détendre il valait mieux obtempérer...

Mais Myoki semblait tout de même assez nerveux, c'était bien mais il ne fallait pas non plus que ce soit trop. Il ne manquerait plus qu'il s'évanouisse à chaque fois qu'il viendrait jouer avec lui. Ce ne serait pas vraiment aux goûts de Julien, loin de là.

Mais pour le moment il se laissait faire, sentant la langue du gamin s'activer, son membre se faire aspirer, ses bourses se faire carresser. Il était plus doué qu'il en avait l'air ce petit... Peut-être le prêterait-il à ses meilleurs clients... ou à son frère si ce dernier deignait passer le voir un de ces jours. Le pauvre, toujours avec la même femme chaque nuit,ce devait être gênant... Julien n'avait pas se problème puisque sa femme lui avait déjà donnée deux fils et une fille. C'était amplement suffisant et il n'avait plus grand choses à faire avec elle. De toutes façon elle ne l'avait jamais interressée et du moment que l'éducation de ses enfants se faisait sans heurts il n'avait pas besoin de s'en méler, il allait juste relever les compteurs de temps en temps...

Puis finalement le traitement que lui prodiguait Myoki emmena Julien plus loin qu'il ne l'imaginait. Il s'assit légèrement et posa sa main sur la tête du jeune homme pour le maintenir où il était et poussa un doux gémissement avant de se libérer en lui.

Julien haleta un instant et garda la bouche de son compagnon en place jusqu'à ce qu'il soit sûr que rien ne goutterais sur le lit. Puis il le repoussa et lui indiqua la porte menant au salon d'un vague signe de la main. Il n'avait plus besoin de lui et s'il voulait se reposer ce serait dans le salon.

"Ne salit rien."

Dernier ordre pour la forme avant de remettre son pantalon pour faire une sieste bien méritée après tant d'éfforts... et bien oui, ce n'est pas facile de dresser un gamin. Et encore moins de savoir que l'on va se faire courtiser sous peu...

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Nerveux? non fatigué... Pourtant il tenta de ne pas le montrer et continua de détendre Julien. Sa langue courait sur son membre et ses mains jouaient sur ses bourses. Il sentait la tension augmenter de plus en plus en son propriétaire et accentua encore plus les mouvements de va et vient jusqu'à ce qu'une main ne se pose sur sa tête et l'empêche de bouger. Myoki grimaça mais se laissa faire et accueillit la semence de son maître dans sa bouche. Il avala tout comme il put et se retint de vomir sur le lit et faceà Julien.... Ca n'était pas vraiment agréable ce qu'il venait de lui faire subir...

Le propriétaire le repoussa et lui montra le salon de la tête. Myoki s'inclina et fila au salon. Il se rhabilla et ne put se retenir de vomir dans la cheminée (hum^^'). Il resta sur le sol froid un instant, le temps de reprendre sa respiration et alla s'allonger sur le sofa un moment. Il finit même par s'endormir quelques heures... Cela lui fit le plus grand bien et quand il se leva, il se sentit mieux et décida d'aller voir si le propriétaire était réveillé.

A pas de loup il se rendit dans la chambre et s'agenouilla sur le sol, au pied du lit, guettant la respiration de Julien. Apparemment il dormait encore. Myoki jeta un coup d'oeil par la fenêtre pour voir que le soleil avait dépassé son zénith... Il devait être le début de l'après midi. Il avait dormit deux heures tout au plus mais pour le moment c'était suffisant...

Mais d'un coup, quelqu'un frappa à la porte du bureau. Julien grogna mais ne se réveilla pas... Myoki se leva et à pas de loup alla ouvrir la porte. C'était un serviteur qui s'inclina devant lui et tendit un bout de papier à donner au maître. Myoki le remercia et retourna s'agenouiller devant le lit et attendit sagement que le maître se réveil, le petit papier soigneusement plié entre ses doigts...

Julien se reposait enfin, dormant de tout son saoûle avec douceur et déléctation... rien n'aurait pu le gêner, il n'entendit même pas Myoki pénétrer dans sa chambre deux heures après le début de sa sieste. Il dormait tellement paisiblement, ses ennuis et ses soucis loin de lui à son plus grand plaisir.

Puis un coup se fit entendre, Julien se retourna simplement en grognant avant de se rendormir aussi sec. Il reparti dans son rêve, tranquille et calme, et ne se réveilla qu'au bout d'une heure. Il émergea avec difficultée et s'étira avant d'apercevoir le gamin au sol.

"Qu'est-ce que tu fiche là toi ?"

Comme à son habitude... grognon au réveil. Il n'écouta même pas ses excuses et se leva pour prendre un verre d'eau et prendre des mains le papier que tenait le môme entre ses doigts sans même un remerciement. Il l'ouvrit et se rendit dans son salon avant de pousser un juron quelque peu grossier et de chiffonner le morceau de papier avant de le jeter dans le feu... feu qui avait d'ailleur une étrange odeur mais dont Julien ne se préoccupa pas pour le moment.

De la Castille... à peine arrivé qu'il s'en prenait déjà à lui. Il lui envoyait des mots doux maintenant, comme si Julien allait lui appartenir, et puis quoi encore. Il n'allait certainement pas se laisser avoir par cet aristocrate là. Se faire courtiser par un homme tel que lui... ça donnait froid dans le dos... Il lui demandait quand il pourrait le voir, de Guerray avait bien envie de répondre "jamais" mais ce n'était pas son genre et après tout il était un de ses meilleur clients.

Puis le seigneur de Guerray se mit à réfléchir et s'assit dans son canapé, fuir ? Non, ce n'était pas la solution, il n'était pas un gueux, lui. Il n'avait pourtant aucunes échappatoire pour le moment. Il ne pourrait feinter eternellement le dressage de Myoki et savait l'aristocrate tenace. Ce ne serait pas aisé que de se débarrasser de lui, oh que non.

Il devait réfléchir à tout ça et s'installa confortablement dans son canapé en se servant un verre d'alcool. Il claqua des doigts pour faire venir le gamin à lui et lui dit d'appeler un serviteur. Lorsque ce fut fait il le pris près de lui et lui murmura avec une certaine hargne dissimulée.

"Va voir de le Castille et dit lui ceci : Nous nous verrons si j'ai le temps de sortir de mes quartiers. J'ai hélàs des comptes à régler, les dépenses quant au soins des compagnons devant être allongées..."

Et voilà, en plein dans le mille. Et d'une pierre deux coups, il savait que Laurent ne se retiendrait pas de blesser son compagnon et de cette manière il risquait fort de faire quelques économies et en prime... il se dirait que c'est de sa fautes... ce qui était dans un sens vrai...^^

Admin, compagnon Nombre de messages : 206 Date d'inscription : 01/10/2006

Ce n'est qu'une heure plus tard que Julien commença à remuer. Sa respiration se fit moins régulières et il ouvrit les yeux. Il s'étira, bailla et se leva avant d'envoyer balader le pauvre Myoki qui eut beau essayer de s'excuser, rien n'y fit.. Il tendit alors juste le papier à l'homme avant de se lever et de le suivre au salon, restant tout de même assez éloigné de lui. Le propriètaire semblait de bien mauvaise humeur, le jeune compagnon ne voulait pas risquer de prendre un coup pour être resté trop prés de lui...

Myoki n'approcha que lorsque monsieur lui demanda. Il appela un domestique et se remit derrière le fauteuil sagement et jusqu'à son départ. Il ne bougea pas avant de finalement venir se poser à genoux devant lui, les mains sur les cuisses la tête basse. Il n'avait pas vraiment compris ce qu'il s'était passé, sans doute un noble qui se croyait tout permis. Mais ça n'était pas ses affaires et il ne voulait pas mettre Julien en colère...

"Monseigneur... Voulez vous un massage pour vous détendre?"

Demanda-t-il doucement en redressant la tête, lui souriant. Sa demande était dénuée de toute insolence même si son sourire pouvait paraître dérangeant. Il ne bougea pas et attendit juste une réponse, prêt à se lever et s'éxécuter... Il était assez fort pour les massages, on lui en demandait pas mal, même sa belle mère avant...qu'elle ne le vende...

A cette pensée son air se rembrumit un peu et il baissa la tête. Il était un peu triste quand même et s'en voulait. Si elle l'avait vendu c'est qu'il avait été méchant.... C'était une punition...